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I negozi di giocattoli stanno ritrovando popolarità grazie ai “kidults” a Orléans

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Que vous soyez en avance ou que vous attendiez le dernier moment pour vos cadeaux, il y a un rayon auquel vous risquez de ne pas échapper en cette période de fin d’année : celui des jouets. Pour faire plaisirs à vos enfants, vos petits-enfants, vous allez peut-être même passer par des magasins spécialisés. Mais dans un contexte économique difficile et incertain, le secteur est-il toujours au beau fixe ? 
“Les consommateurs sont de plus en plus dépendants des opérations” analyse Hugues Hérenger, Orléanais, commercial pour plusieurs marques spécialisées dans le jouet. “Aujourd’hui, que ce soit sur Internet, dans les hypermarchés et chez les spécialistes, de plus en plus d’opérations sont mises en place ; et cette année on a même le sentiment que les consommateurs sont un petit peu plus présents lors de ces opérations”.

Internet un peu en retrait en novembre, les magasins spécialisés plus en vogue

Si les achats sur Internet avaient largement la cote depuis plusieurs années, les chiffres de novembre 2024 sont un peu en baisse “mais cela s’explique par le léger décalage du Black Friday, Internet est très fort sur ces opérations, on imagine que ça a profité aux vendeurs”.
Bonne nouvelle par contre pour les magasins spécialisés, qui connaissent un certain rebond grâce à la tendance des “kidults”, ou “adulescents”, c’est-à-dire un public adulte qui achète des jouets. “Les kidultes qui sont majoritairement dans notre objectif d’achat du jouet, ce sont les 1982-95, ils se tournent vers des gammes qu’ils ont connues quand ils étaient enfants : Goldorak, Pokemon, ou encore Lego”.

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